je suis couché
pression sur la terre répartie
en muscles tendus
du repos l’aventure d’une écoute
à l’intérieur se trame les échos
d’une histoire sans fin
à chaque mot source coule
des lettres la danse joyeuse
écart des subterfuges du sens
l’exploration l’exploitation
la mine la carrière le filon
les lignes misent bout à bout
et faire l’image d’un temps passé
oeuvre de cartographe à dessiner
sans décors la scène archéologie
du quotidien grattage des poussières
superflux d’une balançoire
axe fixe le monde s'enroule
tricote nos vêtements
ce qui nous fait sourire
je couche sur tout l'univers
ce blog est le processus d’informations sur la publication d’un livre dont le titre est JE COUCHE SUR TOUT L'UNIVERS. Outils de promotion simple et gratuit pour faire partager ce qui me tient à coeur, le monde dans sa grande présence, les mots dans leurs grandes diversités, leurs agencements d’écriture, leur vie intrinsèquement présente à nos respirations polaires.
jeudi 9 janvier 2014
lundi 16 décembre 2013
sur tout
sur tout
ne pas effacer à la nuit
nos écritures du jour
s’offrir les douceurs
d’une couverture médiatique
ligne à ligne la découverte
du texte fermentation
d’une évolution extra-ordinaire
quotidien d’accumulation
déroulement du sablier
orthographique insinué
entre les paravent d’une montre
secouée les poussières
faire peau neuve de ses accrocs
sur tout poursuivre la source qui pointe
l’oxygène existe pour les mots
vitalisation sporadique
mise en effervescence
bouillonnement de cuisson
l’élan ludique du marmiton
de l'écriutre
se coucher sur tout l’univers
d’une emprunte les continents
les chemins à déchiffrer
ne pas effacer à la nuit
nos écritures du jour
s’offrir les douceurs
d’une couverture médiatique
ligne à ligne la découverte
du texte fermentation
d’une évolution extra-ordinaire
quotidien d’accumulation
déroulement du sablier
orthographique insinué
entre les paravent d’une montre
secouée les poussières
faire peau neuve de ses accrocs
sur tout poursuivre la source qui pointe
l’oxygène existe pour les mots
vitalisation sporadique
mise en effervescence
bouillonnement de cuisson
l’élan ludique du marmiton
de l'écriutre
se coucher sur tout l’univers
d’une emprunte les continents
les chemins à déchiffrer
mardi 15 octobre 2013
image d’un mont suspendu
à l’image qui ouvre notre regard
ce blog doit à l’ordinaire du quotidien
l’espace sans fin des possibles
n’est pas que le hasard d’un voyage au Népal
d’un fils qui explore sa tranquillité
sur des chemins promène un rêve
jusqu’au balcon des Annapurna
revenu aux regards clairs
d'un Mont Analogue
un autre de nos grand-père
en littérature d’exploration
je parcours de René les extraits
d’une vie sans frontières
sans quitter le chemin d’un corps
le chemin bien présent
d’un exploration vivante
mercredi 25 septembre 2013
à ceux qui
pour quelques raisons
je viens ici remercier ceux
qui ont permis la réalité
de ce livre
regards présences confidences
extrait de naissance
tout passe à qui sait lire
l’entre ligne d’un texte
son revers
sa nuit boréale
ses étés sans orage
ses orages sans pluie
ses grincements douloureux
et l’inventaire des parcelles
devient le compte sans fin
des galaxies perdues
du texte en expansion
où les raisons de clore
ne viennent pas nécessairement
aux raisons techniques
aux raisons pécuniaires
la réalité concrète d’un rêve
prend pied sur la terre
des réalités
je vous le dis ici
ce qui n’est pas dit
est autant choisi
que ce que j’écris
l’omission étant
le silence salutaire
à la reflection tardive
d’une raison de le faire
voyez dans mes silences
l’espace d’un réjouissance
sans commune mesure
au vivant des émotions
l’instant de nos rencontres
portent les gestes immenses
d’un accueil sans ombre
et le livre devient ce qu’il
ne devrait pas cesser d’être
la passerelle simple et tranquille
d’une pensée vers l’autre
sans altération
je viens ici remercier ceux
qui ont permis la réalité
de ce livre
regards présences confidences
extrait de naissance
tout passe à qui sait lire
l’entre ligne d’un texte
son revers
sa nuit boréale
ses étés sans orage
ses orages sans pluie
ses grincements douloureux
et l’inventaire des parcelles
devient le compte sans fin
des galaxies perdues
du texte en expansion
où les raisons de clore
ne viennent pas nécessairement
aux raisons techniques
aux raisons pécuniaires
la réalité concrète d’un rêve
prend pied sur la terre
des réalités
je vous le dis ici
ce qui n’est pas dit
est autant choisi
que ce que j’écris
l’omission étant
le silence salutaire
à la reflection tardive
d’une raison de le faire
voyez dans mes silences
l’espace d’un réjouissance
sans commune mesure
au vivant des émotions
l’instant de nos rencontres
portent les gestes immenses
d’un accueil sans ombre
et le livre devient ce qu’il
ne devrait pas cesser d’être
la passerelle simple et tranquille
d’une pensée vers l’autre
sans altération
de l’ecriture à l'écrivain
qui du geste d’écrire au pas de la publication
fait l’écrivain ?
sur les étagères cosmiques
des grand bibliothèques
qui habitent nos mémoires
qui n’a pas rêver de poser
dans un geste auguste
avec ombre et lumière
son texte son livre
sa première de couverture
sa quatrième avec photo, please
comme il se doit la réalité
rejoint souvent l’imaginaire
quand dans le temps
on a mis la main
à la pâte du papier
le brouillon fait le texte
des heures vécues
n’est pas qu’illusion
à ceux qui sourient
les brumes rupestres
d’une caverne close
s’inventent les lumières réelles
d’un agglomérat de patiences
et les mots congruents s’accrochent
aux pages vierges des nuages
en nombre secouent le ciel
ils pleut des livres
beau temps
fait l’écrivain ?
sur les étagères cosmiques
des grand bibliothèques
qui habitent nos mémoires
qui n’a pas rêver de poser
dans un geste auguste
avec ombre et lumière
son texte son livre
sa première de couverture
sa quatrième avec photo, please
comme il se doit la réalité
rejoint souvent l’imaginaire
quand dans le temps
on a mis la main
à la pâte du papier
le brouillon fait le texte
des heures vécues
n’est pas qu’illusion
à ceux qui sourient
les brumes rupestres
d’une caverne close
s’inventent les lumières réelles
d’un agglomérat de patiences
et les mots congruents s’accrochent
aux pages vierges des nuages
en nombre secouent le ciel
ils pleut des livres
beau temps
vient de naître
du texte
du texte qui fait souche
qui fait couche sur le papier
apache imprimeur
du bruit les éléments réducteurs
du silence la machine mange
le papier d’une encre noire
pose le texte endormi
sur des lignes choisies
du blanc entre les mots
les lignes respirent lentement
les interstices de la mémoire ouvrent
le continent endormi de la passivité
si écrire est transformer le présent
en profondeur lire devient l’invention
d’une pensées sans précédent
aux yeux flèches performantes plus vastes que la nuit
du texte qui fait souche
qui fait couche sur le papier
apache imprimeur
du bruit les éléments réducteurs
du silence la machine mange
le papier d’une encre noire
pose le texte endormi
sur des lignes choisies
du blanc entre les mots
les lignes respirent lentement
les interstices de la mémoire ouvrent
le continent endormi de la passivité
si écrire est transformer le présent
en profondeur lire devient l’invention
d’une pensées sans précédent
aux yeux flèches performantes plus vastes que la nuit
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